L’histoire vraie d’un jeune agriculteur qui quitte ses terres du Périgord Noir, son patrimoine et sa famille, pour monter à Paris au Cours Florent et devenir comédien. Il rend hommage à sa région, avec une tendresse émouvante et un humour ravageur, mais il dresse aussi le portrait d’un parisianisme intellectuel tout aussi pittoresque.
A noter pour le mardi 21 novembre 2017
Jean-Baptiste
dans “La revanche du terroir”
Jean-Baptiste
à 19h00
L’histoire vraie d’un jeune agriculteur qui quitte ses terres du Périgord Noir, son patrimoine et sa famille, pour monter à Paris au Cours Florent et devenir comédien. Il rend hommage à sa région, avec une tendresse émouvante et un humour ravageur, mais il dresse aussi le portrait d’un parisianisme intellectuel tout aussi pittoresque.
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Alexandra PIZZAGALI
dans “C'est dans la tête”
« Je est un autre » écrivait Rimbaud.
À l’heure où la politesse persiste dans son effort de polissage, tandis que la peur et l’envie font de soi un acolyte à dompter et de l’autre un adversaire à embrasser, un monde intérieur subsiste ; tantôt miroir, tantôt fenêtre, sur un dehors qui, perpétuellement, fait s’interroger, souffrir, sourire, et dont les perspectives, font, elles, parfois, péter les plombs.
« Tout ça, c’est dans la tête... » s’entendait-elle dire. Il était temps de faire le vide.
Le personnage de cette pièce apparaît désaxé. En proie à une folie, tantôt assumée, tantôt insoupçonnée, avec tout ce que ça implique de violence et de candeur. Au moyen d’un texte acerbe et percutant, elle raconte et se raconte, sans filtre ; sans mesurer la justesse, l’extravagance ou l’horreur du propos. Et là où ledit propos peut paraître indigeste, le ton est enlevé, aérien, souriant. Une juste dose de farine et de levain.
Alexandra PIZZAGALI
à 20h00
12 Rue de l'Échiquier 75010 Paris
« Je est un autre » écrivait Rimbaud.
À l’heure où la politesse persiste dans son effort de polissage, tandis que la peur et l’envie font de soi un acolyte à dompter et de l’autre un adversaire à embrasser, un monde intérieur subsiste ; tantôt miroir, tantôt fenêtre, sur un dehors qui, perpétuellement, fait s’interroger, souffrir, sourire, et dont les perspectives, font, elles, parfois, péter les plombs.
« Tout ça, c’est dans la tête... » s’entendait-elle dire. Il était temps de faire le vide.
Le personnage de cette pièce apparaît désaxé. En proie à une folie, tantôt assumée, tantôt insoupçonnée, avec tout ce que ça implique de violence et de candeur. Au moyen d’un texte acerbe et percutant, elle raconte et se raconte, sans filtre ; sans mesurer la justesse, l’extravagance ou l’horreur du propos. Et là où ledit propos peut paraître indigeste, le ton est enlevé, aérien, souriant. Une juste dose de farine et de levain.